Avec la nouvelle génération de ses modules dits Layer OPV (Organic PhotoVoltaic), la société française Dracula Technologies estime améliorer de 25% la production d'énergie à partir de la lumière ambiante. Rendant de ce fait obsolète (dixit l'entreprise) l’emploi de piles non rechargeables qui, à terme, pour des raisons environnementales, vont être bannies du marché selon de récentes directives réglementaires européennes.
Ainsi les concepteurs d’objets connectés, d’objets portables ou de tout autre système fonctionnant avec une ultrabasse consommation pourront désormais, avec un module Layer OPV, générer 25% d'énergie supplémentaire en utilisant la même surface - 750 µW sous 1 000 lux au lieu de 570 µW - ou utiliser 25% de surface en moins pour obtenir la même puissance, en tension et courant.
En utilisant moins de surface pour ses modules photovoltaïques, Dracula estime que les utilisateurs profitent d'une réduction des coûts du même ordre, rendant l’intégration de la technologie encore plus rentable. De plus, l’alimentation des objets connectés à’ultrabasse consommation par cette technologie permet d’améliorer leur impact environnemental en autorisant la conception d’objets connectés plus compacts, toujours selon Dracula.
Pour rappel, les modules OPV multiformes de Dracula sont produits par impression à jet d'encres photoactives organiques conductrices sur des supports flexibles qui peuvent prendre n’importe quelle forme et s'adapter à n’importe quel objet IoT, même de petite taille. L’énergie produite à partir de la lumière ambiante naturelle ou artificielle, même dans des conditions de faible luminosité (moins de 50 lux), élimine de fait le recours à des piles ou batteries. Ce qui va dans le sens de l’histoire.