En lançant Datalogic Connect, une plateforme IoT complète qui unifie la gestion de tous les appareils connectés d’une entreprise, la firme italienne Datalogic, un spécialiste de la capture automatique de données avec des lecteurs de code barres, notamment, et de l’automatisation industrielle (*), a pour ambition de transformer la manière dont les entreprises supervisent en temps réel leurs opérations de capture de données.

Il s’agit en d’autres termes de proposer une solution logicielle qui procure visibilité, contrôle, analyses, diagnostics et configuration à distance d’objets connectés, depuis une plateforme intelligente unique. Objectif affiché : optimiser les performances industrielles en réduisant les temps d’arrêt d'un processus industriel.  

Datalogic Connect procure in fine aux services IT et aux équipes opérationnelles un outil capable, selon la société, de gérer de manière fluide tous les appareils statiques ou mobiles connectés depuis un hub digital centralisé, quel que soit leur lieu de déploiement. Qu’il s’agisse d’ordinateurs mobiles, de lecteurs manuels ou de scanners fixes, Datalogic Connect permet de localiser, configurer, surveiller et dépanner l’ensemble d’une flotte d’appareils, de manière sécurisée et à distance.

Cette plate-forme logicielle est proposée à travers un modèle d’abonnement flexible qui repose sur les fonctionnalités évolutives de Datalogic Connect pouvant évoluer selon les besoins des entreprises.

A savoir, d’abord la visibilité des appareils i.e disposer d’un accès direct et en temps réel aux informations clés sur la connectivité, l’état de la batterie, la garantie et la localisation précise pour chaque appareil, afin de permettent de détecter les éventuels problèmes hors ligne et de simplifier la maintenance sur l’ensemble du parc.

Ensuite la configuration des équipements, i.e déployer à distance des mises à jour logicielles et des configurations personnalisées sur des milliers d’appareils, et créer des plannings de tâches, à appliquer en vue de garantir une conformité avec les standards de sécurité depuis une interface unique.

Et enfin la capture de données analytiques, i.e obtenir des informations exploitables grâce à des diagnostics intelligents, à la détection d’anomalies et à la maintenance prédictive. Soit, identifier les appareils sous-performants, anticiper les remplacements de batteries et évaluer la vitesse de capture pour améliorer continuellement la productivité et réduire les temps d’arrêt.

Conçu pour répondre à la complexité des entreprises modernes, Datalogic Connect se distingue, selon la société, à travers deux fonctionnalités jugées uniques. Premièrement, l’outil permet une découverte automatique en temps réel des nouveaux appareils, pour un enregistrement rapide de parcs de toute taille. Ce qui élimine le recours à la saisie manuelle ainsi qu’au téléchargement des numéros de série.

Deuxièmement, l’approche de type "plateforme ouverte" permet aux clients d’intégrer immédiatement ces services y compris dans des solutions de gestion de parc déjà existantes.

« Procurer aux utilisateurs une visibilité en temps réel et des capacités analytiques avancées sur leurs appareils Datalogic a pour ambition de de passer d’une maintenance réactive à une optimisation proactive, et ainsi de réduire considérablement leurs temps d’arrêt et leurs coûts opérationnels. » précise Rosario Casillo, Vice-Président Exécutif Produits et Solutions Capture de Données chez Datalogic.

(*) Datalogic, créé en 1972, spécialisé dans la conception et la fabrication de lecteurs de codes-barres, terminaux mobiles, capteurs pour la détection, systèmes de vision industrielle et systèmes de marquage laser dont le siège est basé à Bologne (Italie), emploie environ 2 700 collaborateurs à travers 27 pays, et dispose de 9 sites de production et de réparation (États-Unis, Hongrie, Slovaquie, Italie, Chine et Vietnam) et 10 centres de R&D (Italie, États-Unis, Chine, Vietnam, République tchèque et  Suède). En 2024, le Groupe Datalogic a réalisé un chiffre d’affaires de 493,8 millions d’euros et investi 65,9 millions d’euros en recherche et développement.