La suite logicielle d’Ansys aide à la simulation tout au long de la vie d’un produitAvec la version 2019 R1 de sa solution de simulation numérique multiphysique, Ansys poursuit dans la voie d’une meilleure accessibilité, pour les ingénieurs, à une palette d’outils de simulation qui ciblent différents segments de la conception d’un produit... comme Fluent (logiciel de simulation de la mécanique des fluides), Additive Suite (pour la fabrication additive), Motion (pour la simulation dynamique multicorps), Mechanical (conception mécanique), Scade (pour le logiciel embarqué) et Medini (pour l’analyse de la sécurité fonctionnelle), notamment. Pour ce qui concerne plus particulièrement le domaine de l’embarqué, la suite de simulation de logiciel embarqué Scade (photo ci-dessous) propose de nouvelles fonctionnalités pour les applications automobiles et notamment les véhicules autonomes, permettant de générer et de tester du code sur des architectures multicœurs. Avec en sus des facilités pour assurer la conformité aux normes de l’industrie comme Autosar et ISO 26262.
Pour ce qui a trait à l’outil Medini Analysis, ce dernier effectue désormais avec plus de rapidité l’analyse de la sécurité fonctionnelle d’un projet vis-à-vis de la norme DO-178C, ainsi que des standards ISO/PAS 21448 SOTIF (System of Intended Functionality). Associés à la norme ISO 26262, ceux-ci traitent des risques déraisonnables en l'absence de dysfonctionnements des systèmes électriques et électroniques dans les automobiles et autres véhicules terrestres. Enfin, toujours pour le secteur automobile, le logiciel Speos (lié au récent rachat du français Optis en mars 2018) renforce ses capacités de conception prédictives pour la création, le test et la validation de conception virtuelle dans une boucle d'itération. L’outil, à travers ses extensions Speos Head-Up Design et Analyse, se conforme aux normes et réglementations internationales, notamment celles de la SAE International (Society of Automotive Engineers), de la Commission électrotechnique internationale (CEI) et de l’Institut des assurances pour la sécurité routière (IIHS). Il permet d’anticiper et de simuler des problèmes de perception tels que des images floues à un stade très précoce du développement, réduisant ainsi le besoin de prototypes physiques coûteux et chronophages. |