
Habitacle automobile : NXP étoffe son portefeuille de plateformes S32 avec des microcontrôleurs Arm pour commande moteur NXP étend aujourd’hui son portefeuille échelonnable de plateformes de traitement S32 pour l’automobile avec la famille de microcontrôleurs S32M2 bâtis sur un cœur Arm Cortex-M4 ou Cortex-M7 et conçus spécifiquement pour la commande moteur dans des applications de carrosserie et de confort (pompes, ventilateurs, toit ouvrant, réglage du siège, prétensionneurs de ceinture de sécurité, ouverture du coffre, etc.). Selon la société de semi-conducteurs, les S32M2 ont vocation à capitaliser sur le succès de la gamme de microcontrôleurs mixtes 16 bits S12 MagniV, tout en tirant avantage des capacités de développement logiciel de la plateforme S32 (avec la possibilité de maximiser la réutilisation des logiciels). Présentés sous forme de boîtiers-systèmes, les S32M2 ajoutent en pratique aux microcontrôleurs S32K de NXP des fonctions d'alimentation et analogiques ainsi que des bibliothèques logicielles étendues nécessaires à la commande de moteurs BLDC (moteurs à courant continu sans balais) et PMSM (moteurs synchrones à aimant permanent). Avec les microcontrôleurs S32M2, les équipementiers pourront en outre (dixit NXP) effectuer des tests de diagnostic moteur, transmettre des données au contrôleur de zone et optimiser les performances afin d'améliorer davantage l'efficacité et de réduire le bruit audible dans l'application finale, pour un plus grand confort des occupants. « En utilisant le Model-Based Design Toolkit de NXP, les constructeurs automobiles peuvent démarrer la simulation Simulink dès le début du cycle de développement puis mapper le modèle sur les ressources matérielles du S32M2, précise Manuel Alves, vice-président et directeur général des activités GPIS (General Purpose and Integrated Solutions) au sein de l’entité Automotive Processing chez NXP. Comme il s’agit d’une pure approche définie par logiciel, les constructeurs automobiles peuvent optimiser la réutilisation des logiciels sur les plates-formes S32, tout en bénéficiant d’améliorations de fonctionnalités et de performances qui s’appuient sur le succès du portefeuille actuel S12 MagniV. » Au-delà des cœurs Cortex-M4 à 80 MHz ou M7 à 120 MHz, les S32M2 embarquent de 128 Ko à 1 Mo de mémoire, des pilotes de grille de Mosfet, des interfaces de couche physique CAN FD et LIN et un régulateur de tension permettant d’alimenter la puce directement à partir de la tension de batterie 12 V. Ils sont conformes AEC-Q100 et ISO 26262 jusqu’au niveau Asil B et commercialisés en boîtier LQFP-EP à 64 broches. Vous pouvez aussi suivre nos actualités sur la vitrine LinkedIN de L'Embarqué consacrée au marché automobile : Embedded-Automotive Vous pouvez aussi suivre nos actualités sur la vitrine LinkedIN de L'Embarqué consacrée aux microcontrôleurs : Embedded-MCU

Habitacle automobile : NXP étoffe son portefeuille de plateformes S32 avec des microcontrôleurs Arm pour commande moteur

NXP étend aujourd’hui son portefeuille échelonnable de plateformes de traitement S32 pour l’automobile avec la famille de microcontrôleurs S32M2 bâtis sur un cœur Arm Cortex-M4 ou Cortex-M7 et conçus spécifiquement pour la commande moteur dans des applications de carrosserie et de confort (pompes, ventilateurs, toit ouvrant, réglage du siège, prétensionneurs de ceinture de sécurité, ouverture du coffre, etc.).

Selon la société de semi-conducteurs, les S32M2 ont vocation à capitaliser sur le succès de la gamme de microcontrôleurs mixtes 16 bits S12 MagniV, tout en tirant avantage des capacités de développement logiciel de la plateforme S32 (avec la possibilité de maximiser la réutilisation des logiciels).

Présentés sous forme de boîtiers-systèmes, les S32M2 ajoutent en pratique aux microcontrôleurs S32K de NXP des fonctions d'alimentation et analogiques ainsi que des bibliothèques logicielles étendues nécessaires à la commande de moteurs BLDC (moteurs à courant continu sans balais) et PMSM (moteurs synchrones à aimant permanent).

Avec les microcontrôleurs S32M2, les équipementiers pourront en outre (dixit NXP) effectuer des tests de diagnostic moteur, transmettre des données au contrôleur de zone et optimiser les performances afin d'améliorer davantage l'efficacité et de réduire le bruit audible dans l'application finale, pour un plus grand confort des occupants.

« En utilisant le Model-Based Design Toolkit de NXP, les constructeurs automobiles peuvent démarrer la simulation Simulink dès le début du cycle de développement puis mapper le modèle sur les ressources matérielles du S32M2, précise Manuel Alves, vice-président et directeur général des activités GPIS (General Purpose and Integrated Solutions) au sein de l’entité Automotive Processing chez NXP. Comme il s’agit d’une pure approche définie par logiciel, les constructeurs automobiles peuvent optimiser la réutilisation des logiciels sur les plates-formes S32, tout en bénéficiant d’améliorations de fonctionnalités et de performances qui s’appuient sur le succès du portefeuille actuel S12 MagniV. »

Au-delà des cœurs Cortex-M4 à 80 MHz ou M7 à 120 MHz, les S32M2 embarquent de 128 Ko à 1 Mo de mémoire, des pilotes de grille de Mosfet, des interfaces de couche physique CAN FD et LIN et un régulateur de tension permettant d’alimenter la puce directement à partir de la tension de batterie 12 V. Ils sont conformes AEC-Q100 et ISO 26262 jusqu’au niveau Asil B et commercialisés en boîtier LQFP-EP à 64 broches.

Vous pouvez aussi suivre nos actualités sur la vitrine LinkedIN de L'Embarqué consacrée au marché automobile : Embedded-Automotive

Vous pouvez aussi suivre nos actualités sur la vitrine LinkedIN de L'Embarqué consacrée aux microcontrôleurs : Embedded-MCU